De la pop, une touche de rock et d’électro, de la sensibilité, de l’élégance, voilà les mots qui viennent en tête quand on pense à BRUNE.
Qui est BRUNE ?
Souvenez vous en 2010, son single « Rupture song » partout sur les ondes « Non, ne me dis pas que tu t’en vas », puis « Un cheveu blanc », et « Les désordres » en 2012.
Après ces bons moments, BRUNE choisit de poursuivre autrement et monte Cavale avec son acolyte Valentin Montu, le réalisateur et musicien de son premier disque. Pendant plusieurs années, ils manipulent diverses machines modulaires et synthétiseurs. Ensemble, ils dévoilent une musique plus sombre et plus dense. En 2016, le pari est réussi et leur travail paye : ils sortent leur premier EP d’une qualité sonore pointue.
Les choses prennent du temps. Beaucoup. Impatience. Lâcher prise. Détermination. Encore lâcher prise.
L’envie de reprendre une guitare pour faire des chansons l’obsède. Et puis il y a aussi toutes celles restées au fond d’un ordinateur… Ne méritent-elles pas d’exister ?
Son écriture devient plus mûre, la voix plus affirmée, les mélodies restent toujours aussi implacables.
Ses chansons parlent du temps que l’on veut retenir mais qui nous échappe, des personnes que l’on veut retenir mais qui s’en vont… De l’amour déçu, des prises de conscience, des frustrations, et des tourbillons de la vie comme disait la jolie dame…
Avec ses grands yeux noirs, BRUNE ne joue pas sur la séduction, elle laisse cela à d’autres. Elle préfère dévoiler son âme et parler au cœur.
BRUNE s’est une nouvelle fois entourée de Valentin Montu à la réalisation (Granville, Cyril Mokaiesh, Mansfyeld Tya…) qui offre un bel écrin, délicat et fougueux, à toutes ses mélodies.
Des tourneries électro, des guitares sensibles, des synthés, une multitude de petits et gros sons ajustés avec précision viennent habiller ses chansons.