// Site officiel du Prix Georges Moustaki qui récompense l’album indépendant et/ou autoproduit de l’année.
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Après des études réussies (Hypokhâgne, Khâgne) et une maîtrise de Philosophie à la Sorbonne, Cerino choisit de revenir à son rêve d’enfant. Depuis l’âge de huit ans ce stéphanois a compris que la scène serait son véritable « chez soi ».
Il parcourt alors les scènes françaises seul puis avec ses différents groupes –Funky Street, Sunny Band –complices des succès qu’il remporte sur les scènes de nombreux caf‘conc’, du Montreux Jazz Festival, du Festival Jazz à Vienne et de bien d’autres lieux hauts en musique.
En 2001, tandis qu’il présente pour la première fois un extrait de son répertoire original, le concours francophone de Villefranche de Rouergue le remarque et lui décerne le premier prix Voix du Sud et SACEM.
D’octobre 2002 à avril 2003, après avoir hésité longtemps mais séduit finalement par la qualité et l’élégance de l’adaptation, il tient le rôle du Géographe dans le spectacle musical « Le Petit Prince », où il est applaudit par 200 000 spectateurs.
Après avoir découvert ses chansons et lui avoir adressé un retour critique magnifique et enthousiaste, Michel Jonasz invite Cerino à faire les premières parties de sa tournée nationale.
Le 5 avril 2004, Cerino remonte seul sur la scène pour un concert au Petit Journal de Montparnasse, puis s’installe du 18 au 29 mai 2004 au Sentier des Halles de Paris.
Il participe en novembre 2004 au festival « Les Enchanteurs » au Triptyque de Paris et en janvier 2005 au festival « Les Poly’Sons » de Montbrison.
Ravi de sa précédente prestation, Michel Jonasz l’invite de nouveau pour assurer les premières parties des 10 représentations qu’il donne en avril 2005 au Casino de Paris.
Ensuite, les apparitions sur scène se font plus rares (Festival « Les nuits de Champagne » 2005, et quelques salles culturelles françaises) parce que Cerino travaille longuement et patiemment à la réalisation de son premier album « 1bis » au studio Gang, lieu mythique de l’enregistrement français.
C’est enfin chose faite et Cerino peut donc tout naturellement recommencer à penser à la scène.
