C’est en 2008, après avoir promené sa guitare manouche sur plusieurs centaines de concerts, que David Hebert est devenu GOVRACHE.
Accompagné d’Adrien à la contrebasse et d’Antoine au violon, il fait swinguer ses textes et nos sourires : La gavroche sur la tête, la gratte en bandoulière, il se joue des interdits comme il joue de sa guitare, provoque un peu, se moque beaucoup et témoigne en souriant d’un quotidien qui l’amuse…ou l’afflige.
GOVRACHE a la grosse trentaine et ça se sent : son écriture est celle de la jeunesse, mais cette jeunesse qui commence à prendre conscience qu’elle est éphémère.
Alors sur scène, ça donne quoi ? L’humour moqueur des sales gamins se mélange avec la sage compassion des adultes : Les textes sont caustiques et corrosifs d’un coté, tendres et nostalgiques de l’autre. On sourit, on rit, on est ému et puis on rit à nouveau. Ses chansons se suivent et nous ressemblent, parce que son inspiration vient du réel, notre réel.
GOVRACHE : De la chanson qui parle des autres, qui parle de nous, qui parle de vous…