Maxence porte de longs cheveux bruns et des yeux de biches.
Elle dessine la musique avec la pointe de son plumage, une vie teintée de noir et de blanc comme les touches de son piano imaginaire.
Des sons concrets du quotidien rythment une voix douce et chuchotée. Des claquements de porte, un aspirateur, un blender épousent une nature organique qui se reflète sur le bitume parisien.
Une princesse urbaine qui pour chanter ses amours déchus, ouvre son ordinateur ses machines et son coeur.
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