Sangue alias Pierre Mourles mélange les genres. A travers des morceaux folk et électroniques, il fabrique, depuis 2011, ce solo étrange et inclassable. Chansons à l’accordéon, expérimentations sonores, textes oscillants entre narration et images, il tisse des liens. Il invente sa propre utilisation de l’instrument dans un mélange électrofolk. Son identité trace ainsi un sillon atypique entre chanson française et inspirations pop-électroniques. Un rien traditionnel, un rien arraché, on se sert de vieux bouts de ferraille pour fabriquer de la rouille dorée.